Éco-acteur

Funérailles Colles & Dominicy
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Les hommages

Photo 704134Madame Paulette COLLARD
Nous sommes tristes. Sa gentillesse, son attention aux autres, sa générosité et son rire nous manqueront lors des prochaines réunions de famille à Frassem. Nous vous embrassons tendrement. Valerie Xavier Lou et Alexandre
Photo 686981Monsieur Alain GAILLARD-FRISQUE
Que dieu le benice,et lui donne access aux portes du paradis.
Que dieu apporte courage et patience a sa famille pour cette disparition.
A dieu cher Alain!
Photo 653105Monsieur Armand ROBERT
Très sincères condoléances pour le décès de votre papa et conjoint...
Marie-Paule & Sylvain
Photo 653444Andrée VANHENTENRIJK
Triste nouvelle.
Vous étiez mon instit de deuxième primaire×2.
Nous remplissions ensembles le distributeur de boissons.
Condoléances sincères
Mme Suzanne
Familles
Courage
Photo 631788Monsieur Joseph SERRA
A toi le lion de nos vies: «  Les animaux ne donnent pas au lion l'onction royale, et ne célèbrent aucune cérémonie pour le sacrer. L'empire que le lion exerce sur les animaux lui appartient naturellement, parce qu'il a conquis la royauté par sa valeur. »
Photo 584179Monsieur Jan RYDE
Tu es parti si vite en ce sombre jour. Qui m'accompagnera dans ces balades à la recherche de champignons et de lichens. Que la terre te soit légère.
Photo 578604Monsieur Paul DEJAER
Cher Parrain,

Beaucoup se souviendront de toi comme d’un remarquable enseignant de germanique, un préfet d’athénée unique, à l’écoute, rigoureux et rassembleur. Tout cela est vrai, bien sûr, mais pour nous tu es avant tout notre grand-père, toujours bien habillé, toujours à l’heure, avec sa moustache chatouilleuse et son humour inégalé.

« Je me souviens » dit la devise du Québec... Nous garderons l’image d’un grand-père d’exception, infatigable marcheur autour du lac d’Habay, ingénieux constructeur de cabane et notre fournisseur officiel de croustillons. Nous nous souviendrons de toi et Ganny, nous préparant votre fameux poulet rôti, poulet très spécial commandé chez Gérard, qui avait toujours deux cuisses avant droites. Et en guise de dessert, si nous avions tout mangé, tu nous emmenais faire un incroyable « tour du monde » dans la salle de gymnastique de l’athénée. Quelle meilleure façon pouvait-il y avoir de nous faire aimer l’école?

Vous aimiez tant les voyages, et en particulier en camping, sous tente canadienne bien sûr. Tu aurais été très fier de nous et de notre installation, si tu nous avais vu le mois dernier avec les enfants, campant au pays de l’ours noir. Tu aurais souri très certainement, par contre, à la vue de tout ce « brol » (un peu entassé il faut bien le dire...) dans la voiture pour le retour, toi qui n’avais pas ton pareil pour organiser minutieusement, au centimètre près, ton coffre de voiture du premier au dernier jour de voyage. Nous vous devons à Ganny et à toi, notre baptême de l’air en hélicoptère au Grand Canyon, nous te devons notre premier vol en montgolfière au Masaï Mara et aussi une de nos plus belles frayeurs en avion en route pour Zanzibar. (Peu importe, tu avais toujours le chic pour nous rassurer) Un grand voyageur mais aussi tout un acteur: ton numéro du « belgian teacher » avec ton béret basque face à un Ranger du Yellowstone: un souvenir d’anthologie!

Tu nous laisses en héritage (outre quelques centaines voire milliers de diapositives...) un goût pour le travail bien fait, un intérêt marqué pour l’égyptologie, des valeurs aussi fondamentales que la tolérance et le respect de l’autre, et un amour pour les mots croisés bien sûr. Lucas ne se lasse jamais de tes fameuses réussites aux cartes, qu’il s’agisse de l’horloge ou des treize paquets, Thomas épate régulièrement ses amis de classe avec ton tour de magie du « doigt coupé ». Benjamin a hérité de ton talent pour le dessin, et Sarah réalisera vite que son goût pour la danse, et en particulier la valse, ne t’est pas étranger.

Une vie incroyablement remplie... Merci pour tous ces moments, pour tous ces souvenirs, pour toutes ces belles années.

Bon voyage à toi Parrain, nous t’aimons si fort.

Maud et Jean.
Photo 572399Monsieur René MULLER
René était membre du Lions Club Athus-Lorraine. Intronisé en septembre 1985 il en fut son président en 1995-1996.

La bonne ambiance entre tous était son objectif ; il n’avait pas son pareil pour organiser des soirées mémorables.

Sans oublier pour autant, un esprit ouvert à toutes les causes que le club a défendues depuis plus de 30 ans.. toujours prêt à soutenir et à agir.

La maladie l’a éloigné quelque peu ces dernières années mais la pensée et le cœur restaient toujours prêts à épouser les actions réalisées par le club.

Merci René et au Revoir…….

Nos plus sincères condoléances à Claudine et ses enfants.
Photo 556057Monsieur Steven SCHWEICHER
Le club du tt rouvroy vous transmet ses sincères condoléances à toute la famille
Photo 548236Madame Anita BOUILLON
Hommage de Fanny Fourniret, sa petite fille, fille de Thierry

Mémé,
D’aussi loin que je me souvienne, tu as toujours été d’un soutien inconditionnel. Toujours là, avec élégance et discrétion. Attentionnée et souriante.
Ma petite fille vétérinaire. Qu’est-ce que je l’ai entendu cette expression ! Pourtant, pas une seule fois j’ai eu l’esprit de te remercier. Te remercier pour ton soutien absolu pendant toute ses années. Merci d’avoir été ma mamie gâteau en rendant mon enfance sucrée, merci d’avoir été ma mémé 2.0 connectée à tous les moyens de communication possibles, merci d’avoir été ma mémé sagesse dans mes moments de découragements.
Tu as toujours su montrer ton soutien indéfectible de par ta simple présence. Présence assidue manifestée par des cartes d’anniversaire ponctuelles, des appels dominicains ou inopinés, ou encore des appels vidéos pour s’échanger un sourire entre deux page d’un cours.
Je venais parfois me réfugier chez toi. Seule ou accompagnée, dans ta maison chaleureuse où il faisait bon de rire, se détendre et caresser les chats. Les quelques amis qui ont la chance de te connaître t’ont adoré immédiatement. Qui ne peut pas adorer une mémé si accueillante, ouverte d’esprit et encourageante. Je chéris les moments de blocus chez toi, avec Sarah notamment, pendant lesquels tu partageais notre passion, tu écoutais nos histoires de cours avec intérêt et parfois inquiétude.
Quand on m’appelle Docteur Fourniret aujourd’hui, je suis fière de ce que j’ai accompli. Ça n’aurait jamais été possible sans tes encouragements, ton soutien et ta bienveillance. Dans les moments de doutes, je t’appelais et tu trouvais toujours les mots pour raviver ma motivation. Peu importe l’heure, peu importe le moment, tu étais là. Je me souviens d’un soir, je t’ai demandé si on pouvait s’appeler, il devait être 2h du matin. Tu m’as répondu immédiatement Non, puis tu m’as appelé directement m’expliquant que tu as appuyé sur n’importe quel bouton juste pour me répondre le plus rapidement possible ! Et tu riais tellement fort que je me suis mise à rire aussi, alors qu’une minute avant j’étais en pleurs et désespérée par mes cours. Je me souviens de ce que tu m’as dit ensuite, peu importe le temps que ça me prendrait et de ce que pouvait en penser les autres, ce qui compte c’est que l’on accomplisse nos rêves. Tu croyais en moi tellement fort qu’il me semblait impossible que je n’y arrive pas.
Tu nous as appris à rester nous-même et à devenir des femmes indépendantes et volontaires.
Alors je voulais juste te dire merci. Merci d’avoir été une source d’inspiration, de volonté et d’amour.
Photo 548236Madame Anita BOUILLON
Hommage de Eridan, son petit fils, fils de Yves,
Mémé a toujours été une personne importante dans ma vie. C’était une personne extrêmement gentille et bienveillante. Elle a toujours été là pour moi.
Lorsque je lui ai parlé aux soins palliatifs de Saint Mard, je lui ai dit une phrase qui, selon moi, définit bien quelle genre de personne était Mémé. Je lui ai dit « tu sais Mémé, avec toi je n’ai que de très bons souvenirs ». A combien de personnes dans notre entourage peut on dire cela ?
Quand je pense à Mémé, je pense à tous ces mercredi après midi où j’allais chez elle lorsque j’étais petit, à toutes ces fois où elle m’a emmené au cinéma et où elle s’endormait cinq minutes seulement après que la le film ait commencé, je pense à ces moments intimes où elle me montrait sa vie et ses aventures passées au travers de ses gigantesques albums photos, à ces fois où elle me racontait la guerre et à ces fois où elle me racontait l’amour, je pense à son amour des atlas et des livres d’histoire, à sa passion pour son jardin et à son compost de qualité.
Et lorsque dans ma vie il m’est arrivé d’avoir de la rancœur et de la colère, Mémé m’a toujours montré le chemin de l’amour et du pardon.
Je pense sincèrement que je ne serais pas la personne que je suis aujourd’hui si je ne l’avais pas connue. Sa simplicité et sa gentillesse m’inspirent et je mesure aujourd’hui toute la chance que j’ai eue de la connaître.
Ses conseils, son amour, ses rires et sa tendresse vont beaucoup me manquer. On dit souvent que les mots ne suffisent pas à décrire une peine, je pense pourtant en avoir trouvé un : ce serait « merci ». Merci Mémé pour ton temps que tu nous as donné, merci pour tout ce bonheur et ces moments simples, merci d’avoir été la personne que tu as été.
C’est ainsi que je me souviendrai d’elle : je me souviendrai d’une femme qui avait du goût. Pas n’importe quel goût, on ne parle pas ici de ses goûts vestimentaires qui étaient parfois douteux, non je parle ici de son goût d’aimer. Mémé était ce genre de personne qui donne sans rien attendre en retour, qui aime sans faux-semblant et qui pardonne sans condition.
Mémé va laisse un vide derrière elle, mais ce vide, j’aime à penser qu’elle l’a déjà comblé avec tous ces moments de bonheur qu’elle nous a donnés.
Photo 548236Madame Anita BOUILLON
Hommage de Flora, sa petite fille, fille de Thierry,

Ah ma mémé d’amour, par où commencer ?
Là, tu m’aurais répondu “mais par où tu veux, mon chou”...
Que de mots tendres, de regards complices et protecteurs.
Que d’amour infini durant ces presque 29 années

Avant d’être grand mère, n’oublions pas que tu es la maman de deux hommes qui comptent plus que tout à mes yeux : mon papa et mon parrain. Tu leur as transmis cet amour de la famille et ces si belles valeurs de la vie : la générosité, la tendresse, l’intelligence mais aussi le goût des découvertes et de l’aventure. Chaque jour, ils continueront de me rappeler quelle maman formidable tu as été.

Et puis un jour, ce fût mon tour. Le 30 juin 1990, tu es devenue grand mère pour la première fois et d’une petite fille. Il était temps que tu deviennes “mémé bêtises”, “ma mémé d’amour”.

Etre à tes côtés était synonyme de plaisir, de joie et de moments de bonheur. Et oui, c’est chouette d’être une grand-mère, on était complices et avec toi, j’avais l’impression que je pouvais tout faire, tout dire et tout casser, de tout façon cela se terminait toujours par un sourire géant d’amour, de fierté et de tendresse.
Bien sûr, il y a tout ces souvenirs d’enfance que tu as nourri : chez pépé et mémé c’était les vacances, la liberté. TU nous as toujours terriblement gâtée avec pépé.
Vous vous êtes si bien occupés de nous.
Je pense qu’avec Fanny on t’en a fait voir, on aimait ça, mais je me souviendrai toujours de ce rire que tu avais quand tu finissais par toi aussi faire une bêtise.

Tu nous as tellement appris mémé, tu savais tout sur tout. Je pensais te faire découvrir un sujet qu’un classeur entier de notes et de coupures de journaux était déjà prêt sur le sujet.
Comme toute bonne grand mère tu m’as appris à tricoter, à faire des crèmes dessert vanille,à jardiner. On s’occupait des chats et des hérissons qui venait à la nuit tombée. Puis avant d’aller dormir j’avais le droit de regarder ces belles émissions avec toi à la télé et on voyageait ensemble à travers l’écran.

Et puis un jour, on a décidé de partir toutes les deux en voyage. Je t’ai emmené avec ma petite Clio sur la Côte d’Azur que tu voulais voir de tes propres yeux. C’était à mon tour d’être fière de pouvoir te faire découvrir le sud de la France. Mémé déjà super moderne et connectée, je t’ai quand même fait découvrir le GPS (bon tu gardais précieusement ta carte papier ouverte sur tes genoux) et je t’ai aussi fait découvrir les AirBNB, quel drôle de concept d’aller loger chez des inconnus.
On s’est baladés, on a bien mangé et on s’est prélassées. Comme pour faire écho aux précédentes années, ce fut encore de belles vacances partagées ensemble.

C’est d’ailleurs pendant ce voyage que tu m’as dit à quel point tu étais fière des femmes que nous étions devenues Fanny et moi, de belles femmes indépendantes.
Mais comme tu le sais ma mémé d’amour, tu es et seras pour toujours un modèle dans ma vie : tu étais belle, coquette, cultivée, sociable et généreuse.

Aujourd’hui tu continues à vivre dans le coeur de ceux que tu as aimé et qui t’aime pour toujours.

Tu me manques déjà terriblement. Je t’aime ma mémé.
Photo 548236Madame Anita BOUILLON
Hommage de sa soeur Marie Claire,
Anita,
Tu as toujours été là pour moi.
tu avais toujours une oreille attentive. Tu me soutenais quand ça n’allait pas fort, et je faisais de même. Tu n’oubliais jamais mes filles et mes petites-filles. Tu t’intéressais à nous et aimais nous faire plaisir à la moindre occasion.
Tu m’as toujours associée aux fêtes de famille. Dès que Thierry revenait dans la région, tu pensais à me prévenir et m’inviter à partager des moments ensemble. Ces instants partagés ont toujours été un réel bonheur pour moi. Mais bien d’autres occasions m’ont rendue heureuse.
C’est Jean et toi qui m’avez fait découvrir les sports d’hivers. Je me souviens de mon émerveillement, une fois au sommet de la montagne, en découvrant l’immense paysage enneigé. Nous faisions de longues balades et explorions la station pendant que Jean skiait. Le soir nous jouions, au Whist avec Lucien et Ghislaine.
Je repense à ta fierté de me montrer ton jardin et tes fleurs dont tu t’occupais avec plaisir. Et Miquette, ton chat, dont tu prenais soin avec tant d’amour. Ne te tracasse pas pour elle, elle va rejoindre la France chez Lulu qui, c’est certain, la traitera aussi comme une reine.
J’ai tellement de souvenirs que je pourrais encore raconter mais, je les conserve bien au chaud dans mon coeur. Le dernier que je garde de toi est celui d’une jolie et coquette petite poupée de porcelaine.
Tu es ma soeur chérie et tu vas beaucoup me manquer. Tu resteras dans mon coeur.
Au revoir Anita, je t’aime.
Photo 548236Madame Anita BOUILLON
Hommage d’Emilie, sa petite nièce
Tante Anita,
je veux te remercier pour tous ces moments que nous avons partagés!
Merci de m’avoir gardée avec ma sœur et surtout, d’y avoir pris du plaisir malgré mon sale caractère que tu aimais tant souligner , avec tendresse, lors de nos rencontres.
Merci de m’avoir appris à faire du vélo dans ta cours. Je sais que tu as eu très peur pour moi et que je t’ai fait courir derrière moi quand je filais à toute allure alors que je ne savais pas encore m’arrêter.
Merci d’avoir pris de ton temps pour faire des bricolages avec moi. Tu m’as également emmenée voir un aquarium à Arlon où j’ai découvert les requins et les piranhas. D'ailleurs j’ai toujours ce porte-clés que tu m’as offert à cette occasion.
Merci pour ton traditionnel lait à la grenadine que j’ai toujours réclamé chez toi et que je ne bois nulle part ailleurs.
Et surtout, je ne te remercierai jamais assez pour ta bonne humeur et ta main sur le cœur. Tu as toujours fait un petit geste pour nous lors des anniversaires, de Saint-Nicolas, … alors que rien ne t’y obligeait. Lorsque je suis venue te voir à l’hôpital, tu t’entêtais à partager ton repas avec moi. Quand j’ai enfin cédé, tu étais si heureuse de m’offrir une tartine de jambon et un bout de ta poire. Cela m’a fait énormément plaisir...
Merci pour tout Tante Anita. Je garde que de bons souvenirs en ta compagnie, du début à la fin. J'espère que tu seras heureuse là où tu es, au côté de tonton jean, ton époux...
Photo 548236Madame Anita BOUILLON
Hommage de Muriel Remy, sa nièce
Ma petite Anita.
        Sache que je n’oublierai jamais…….
· Les bons repas en famille partagés à Arlon chez Bobonne et Papy quand tu revenais du Congo.Que de belles histoires de là-bas tu nous racontais . Sûrement ce qui m’a donné le goût des voyages et l’amour de l’Afrique……..
· Harinsart…….. charmante petite maison de campagne que tu avais décorée à ta façon…..J’y ai passé mes plus belles vacances champêtres : cueillette des champignons avec réveil à 5h du matin , jeux à la ferme voisine……
· Le Rwanda. magnifique pays des mille collines que tu m’as fait découvrir lors de mon voyage de noce. Les tilapias au barbecue, le restaurant typique du poulet pili ou sans pili, les gorilles des Virunga, le parc de l’Akagera. le mini bus et les pique-niques au goût de banane…..
· Mémé bêtise…..le surnom que Keran t’a donné….Tu sais pourquoi….
· Ton amour pour les chats. Rassure-toi, ta Miquette adorée a trouvé chez Lulu une nouvelle maison bien agréable. Et elle aussi ne t’oubliera jamais……..
Photo 548236Madame Anita BOUILLON
Hommage d’Alicia sa petite nièce
Tante Anita,
Tu m’as toujours racontée tes voyages, toutes les merveilleuses choses que tu as vues à travers le monde. Petite, je t’ai toujours écoutée avec des étoiles pleins les yeux. Voilà quelques jours, c’est toi qui m’a demandée de te raconter mes aventures en Norvège; c’était à mon tour de te permettre de t’évader. Je n’oublierai jamais ces moments passés avec toi.
J’espère que ton dernier voyage sera à la hauteur de tous les autres et, peu importe où tu vas, je penserai fort à toi.
Photo 548236Madame Anita BOUILLON
Hommage Laeticia, sa petite nièce,
Tu étais une personne avec un grand cœur et qui n’a jamais eu peur. Il y a peu, tu as été la plus courageuse. Lorsque j’étais petite, je craignais beaucoup de personne mais toi, tu n’as jamais abandonné l’idée de venir me voir.
J'ai pu revoir des personnes de ma famille que je n’avais plus vu depuis longtemps...c’est à ce moment que l’on se rend compte que l’on a de la chance de les avoir et que malgré tout, nous ne sommes jamais seul.
Du début à la fin, tu auras amené du bonheur et du courage dans le cœur de tout le monde, que ce soit dans le mien ou encore celui de ma petite mamy, ta sœur.
Jamais nous ne t’oublierons. Nous penserons à la forte et incroyable personne que tu étais.
Je ne suis peut-être pas présente aujourd’hui, mais, cette compétition, je vais la faire pour toi, pour t’honorer et pour que de là-haut, tu continues à être fière de moi.
Une nouvelle étoile est née et, cette étoile, sera à jamais la plus lumineuse.
        Je t’aime d’un amour pur et infini et jamais il ne s’envolera, je te le promets.
Photo 548236Madame Anita BOUILLON
Hommage de Brice et Erikka, des amis d’Arlon
Merci à vous, Yves et Thierry, d’avoir pu nous permettre de revoir Anita une dernière fois à Saint-Mard. Un beau et précieux moment d’ultime échange.
        Lucide quant à la situation, elle nous témoignait d’une telle sérénité, avec son habituelle gratitude pour une vie remplie d’innombrables aventures et de rebondissements.
        Anita est partie dans les plus douces circonstances. Nous pensons qu'elle méritait tellement cette douceur.
Elle a toujours été si gentille et positive. Fort de ses expériences et de ses nombreux voyages, aucun des tracas de la vie ne semblait lui paraître si important. Cette sagesse à toute épreuve et son humilité ont été une source d'inspiration pour nous et cela le restera.
Après notre départ de la rue Ermesinde, nous étions toujours ravis d'inviter Anita à venir manger dans notre nouvelle maison et de pouvoir respirer ensemble un peu l'air de la campagne.
Nous nous rappellerons de nos échanges sur les voyages et de ses nombreux récits captivants sur sa vie en Afrique et celle de sa famille, notre amour mutuel des chats, et la multitude de reportages télé qu'elle enregistrait pour faire des fiches en disant ne jamais avoir le temps de les regarder ensuite.
Depuis notre premier jour en Belgique il y a 10 ans, Anita a été un point d'attache et d'intégration formidable pour nous. Prête à nous apporter son soutien en toute circonstance. Il y aura donc toujours un peu d'elle dans nos coeurs et ceux de nos enfants.
Merci pour tout Anita, tu seras toujours avec nous.
Photo 548236Madame Anita BOUILLON
Hommage de Dominique Jacques, une amie d’Arlon
Anita était une femme charmante, accueillante, avide d'apprendre, prolixe et drôle. Elle aimait à certains moments (je pense à un certain trajet en voiture avec elle) livrer ses idées sur la vie , l'amour, les relations humaines. Et elle y allait de ses conseils affectueux.
J'ai comme elle la passion des chats. Je me rappelle vaguement qu'elle m'a appelée il y a plus de 20 ans, pour un chat que j'avais perdu, croyant l'avoir retrouvé.
Elle n'hésitait pas à me convier à vos réunions chez le pépère et c'était vraiment sympa ces soirs où elle parlait, s'agitait, insistait pour qu'on mange. , Elle était fière de sa famille, de ses enfants de ses petits-enfants.
J'ai ce petit regret de n'être pas passée la voir ces dernières années. mais j'entends encore sa voix. Et donc, beau voyage madame.
Photo 548236Madame Anita BOUILLON
Hommage de Bernadette Sosson, une amie d’Arlon,

Anita restera pour moi une gentille et belle personne que j’ai connue au cours d’informatique et nous avons continué à communiquer et échanger. Elle rencontrait mon mari qui travaillait à Carrefour et ne manquait jamais de me remettre ses amitiés.
Bernadette Sosson
Photo 548236Madame Anita BOUILLON
Hommage de Jacky Fourniret, son cousin par alliance,
        
Quand j’ai rencontré Anita, je devais avoir treize ou quatorze ans et, elle, vingt-deux ou vingt trois, je pense. Elle venait d’épouser mon cousin Jean. Elle était très jolie, pleine d’humour, douce et cultivée. Le cœur des jeunes adolescents étant ce qu’il est, je me suis dit: « Il a beaucoup de chance mon cousin Jean ». Anita avait aussi une sœur qui s’appelait Eva. « Anita et Eva, Eva et Anita, quelle harmonieuse mélodie! »
        Finalement, j’ai grandi, je me suis marié à mon tour et j’ai eu deux filles.
Je les ai prénommées: « Eva et Elisa » comme l’écho de la musique du prénom des deux sœurs et du trouble laissé dans ma mémoire, jusqu’à aujourd’hui, par cette première rencontre.
Au revoir charmante Anita!
Jack Edmond Fourniret
Photo 548236Madame Anita BOUILLON
Hommage de Gilberte et Michel Rigaud,
C’est avec beaucoup de tristesse que nous avons appris le départ d’Anita. Encore une page de notre vie qui se tourne, et, quelle page...Jean et Anita furent pour nous nos premiers véritables amis après notre mariage, et, ceci sur la terre du Zaïre où nous sommes restés ensemble pendant presque deux ans. Ils nous ont protégés, chouchoutés, nous qui étions si jeunes et inexpérimentés. Anita m’a appris à m’occuper de David né dans ce pays inconnu, loin de notre famille.Elle fut la marraine de notre fils, et, le restera toujours. C’est une période de notre vie qui restera toujours en nous. Nos pensées en ce jour sont avec vous, ses enfants, petits-enfants, et toute votre famille. Que Anita repose en paix. Nous vous embrassons, et, vous envoyons nos plus sincères condoléances.
Gilberte et Michel RIGAUD.
Photo 548236Madame Anita BOUILLON
Hommage de José Brolet, un ami d’Afrique

Nous avons souvent beaucoup de copains et souvent très peu de personnes que nous qualifions d'amis. Anita et Jean sont parmi ces êtres chers dont le souvenir est indélébile dans ma mémoire et même encore souvent réconfortant et réjouissant.
Nous sommes arrivés en Afrique la même année, je crois, venant de coins bien différents de Belgique pour se retrouver comme coopérants au Congo.

Pour l'anecdote, Jean était venu rendre visite à Idiofa, mon premier poste où j’aillais débuter ma carrière. Je venais d'arriver, je l'ai rencontré et dans cette brousse étrangère et étouffante, de voir un "mundele" m'a fait dire, en guise présentation "Livingstone I presume ?" et c'est sur un grand éclat de rire qu'on a fait connaissance !
Jean et Anita sont aussi venus travailler à Idiofa jusqu'à ce que la rébellion de Mulele de 1964 nous a tous obligés à nous réfugier à Kinshasa.

Tellement de souvenirs forts se bousculent dans ma tête que je ne sais par lequel commencer.

En leur compagnie, j'ai pu visiter Mbandaka (Coquilhatville l'époque), pénétrer la forêt équatoriale, entrer en contact avec les pygmées… !
Nous avons ensemble organisé des randonnées en Afrique du Sud, voir des paysages d’une beauté inimaginable, nous nous sentions une âme de découvreur !
Ensemble nous avons aussi parcouru les U.S.A., vécu des aventures inattendues : le voyage de notre petit coin de Belgique à New York et sans attendre repartir pour L.A. et ensuite l’ahurissante Las Vegas ! On a loué une voiture et beaucoup roulé « à l’américaine » : pieds dehors posés sur le bord de la portière, cannette de bière , radio rugissant les Bee Gees etc… On a failli griller dans la Vallée de la mort et on a vécu une panne de voiture dans le désert (on riait un peu moins sur le moment !), le lever du soleil sur le Grand Canyon, l’émerveillement à Monument Valley, la nuit passée à Time Square à regarder ce monde étrange… !

Bref je pourrais continuer pendant des heures. Chaque fois qu’on évoquait ces souvenirs les yeux d’Anita brillaient, souvent elle intervenait avec un vibrant « tu te souviens, Jo… »

Anita était avec nous dans tous les coups, veillant sur nous comme le ferait une grande sœur sur ces turbulents gamins !

Anita, tu aimais voyager et te voilà partie pour le dernier voyage rejoindre Jean qui n’a pu t’attendre !

Anita, Jean vous continuerez à vivre dans mon cœur et si on se retrouve un jour, là-bas, je redirai « St Jean I presume » et nous continuerons l’aventure dans un grand éclat de rire !

José Brolet
Photo 548236Madame Anita BOUILLON
Témoignage de sa sœur Eva,
Petite sœur chérie,
Je garderai toujours de toi l’image d’une petit battante, avide de savoir, désireuse de tout comprendre, toujours à l’écoute des autres.
Toute petite déjà tu as dû te battre pour vaincre des convulsions. De santé délicate, on te préservait beaucoup mais la guerre ne facilitait pas la tâche de maman à ce point de vue.
Comme tu étais d’un tempérament calme, ta accompagnais souvent maman quand elle allait faire le ménage chez une dame. Je te voyais partir avec tes livres à colorier et tes petits crayons de couleur. pour moi c’était un peu mystérieux, tu allais dans une grande maison …
A l'école, tu étais l’élève modèle, souvent montrée en exemple.
Après le lycée, tu avais entamé des études littéraires à l’Université de Liège mais, à cause de ta santé, tu as dû les abandonner ; et là on se voyait un peu moins, toi à Arlon, mi à Liège.
Cependant, tu n’es jamais restée inactive, tu as suivi le parcours scolaire d’un petit garçon à la demande de ses parents, tu as été surveillante au lycée.
Et puis tu es partie au Congo …
Et maintenant, tu n’es plus là mais tu resteras toujours présente dans mon cœur et mes pensées, petite sœur chérie.
Photo 548236Madame Anita BOUILLON
Hommage de Geneviève, sa belle fille, épouse de Thierry
« Je connais un moyen de ne pas vieillir, c’est d’accueillir les années comme elles viennent, et avec le sourire. Un sourire, c’est toujours jeune. »
Cette citation de Pierre Dac, en 1939, juste après votre naissance, et bien, vous auriez pu nous l’adresser. Elle vous correspond à merveille.
Avec crème de jour, de nuit, un très léger maquillage, une tenue vestimentaire pour chaque occasion sortant de l’ordinaire quotidien, rehaussée de boucles d’oreille, bagues, collier,
et voilà déjà vos 80 ans, tout juste fêtés avec vous en octobre.
Je vous ai rencontrée alors que je n’avais que 17 ans…vous n’en aviez alors que 40 !
C’est avant tout à la femme, dans tous ses rôles, ses qualités, ses doutes et préoccupations que j’adresse ces mots.
Anita ...
fille de, belle-fille de, sœur de, tante de, cousine de, amie de, voisine de...
Epouse à 20 ans, maman à 22 puis à 27, grand-mère à 52, 54, 61 ans …
Je vous ai vue les aimer tous, vous ai entendue parler de et avec tous, vous soucier de tous, et principalement de Jean, Thierry, Yves, Flora, Fanny, Eridan, ….
Veiller sur leur bien-être et leur épanouissement, suivant chaque parcours de vie, plusieurs à la fois.
Epouse, vous avez eu une histoire de voyages, de déménagements successifs, d’allers-retours en Afrique, en Belgique, et autres séjours de vacances, suivant sans relâche Jean, longtemps avec vos enfants Thierry et Yves.
Est venu après le temps du retour en Belgique, puis de la retraite, de l’accompagnement de vos parents, beaux-parents, de la maladie (je devrais dire des malades), des décès, et de tous les moments heureux et moins heureux de vos enfants et petits-enfants devenus adultes.
Alors que vous n’aviez que 46 ans, vous êtes devenue ma belle-mère sans aucun des stéréotypes du titre. Vous êtes restée présente sans interférence non sollicitée.
Ouverte au monde, vous avez constitué votre propre documentation sur tous les sujets qui vous passionnaient , une wikipédia avant l’heure. Il faut vous accorder une mention spéciale pour tous vos carnets de notes manuscrites et illustrées par des articles découpés.
Anita, vous nous avez donné beaucoup de temps, d’amour, d’attention, de soutiens, d’encouragements, le goût des autres et de bien les recevoir.
Vous continuerez à nous rappeler que la vie et la création, sous toutes leurs formes naturelles ou intellectuelles, sont des priorités à rechercher, apprécier et respecter.

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