 | Monsieur Eric ABDULLAH C'est ici que nous nous retrouvons tous avec beaucoup d'émotion de voir nos contemporains ouvrir le chemin que nous emprunterons tous, sans exception. Personne ne peut se défiler devant Dieu ! J'habitais au D1, appartement 23, j'avais 12 ans et votre fils 8 ans de moins, bien sûr vous vous rappelez les Beaumont, Thiry, Poncin, Dauby,Lesenfants, Davin, Bouchet et j'en passe tant nous étions nombreux. Je vous transmets une pensée émue et le courage pour affronter la douleur de perdre un fils, un père, un frère encore jeune. Quelle ressemblance avec son père ! André Bouchet
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